Achat d'un bien immobilier à Menthon-Saint-Bernard

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Achat d'un bien immobilier à Menthon-Saint-Bernard

 

En 2021, il est plus facile d’acheter un bien immobilier à Menthon-Saint-Bernard !


Vous cherchez à acheter un bien immobilier à Menthon-Saint-Bernard, commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes ? Conséquence de la crise économique et des très faibles taux d'emprunt (1,14% toutes durées confondues), les banques sont de plus en plus sélectives dans la distribution des crédits immobiliers. Heureusement, il y a quand même des bonnes nouvelles !

En 2021, les banques ont des objectifs de production de crédit élevés dans un marché moins dynamique qu’il ne l’était en début d'année dernière ce qui devrait les inciter à continuer à proposer des taux attractifs pour capter de nouveaux clients avec même des réductions de taux qui peuvent encore être proches des records pour les meilleurs profils ! 

Et, depuis le début de l’année, on observe une légère détente sur les conditions d’octroi de crédit, dont le degré varie toutefois d’une banque à l’autre. Désormais toutes les banques acceptent d’aller jusqu’à 35 % d’endettement, assurance incluse… Ainsi, grâce à la hausse du taux d’endettement, un couple avec 5000 € de revenus nets par mois peut rembourser chaque mois 100 € de plus (1 750 € de mensualité, contre 1650 € à 33 % d’endettement). Avec des taux passés de 1,70 % sur 25 ans en février 2020 à 1,40 % actuellement – (+ 0,30 % d’assurance), il peut ainsi emprunter 417 000 € assurance incluse contre 380 000 € il y a un an, soit 37 000 € de plus ! 

Vous êtes ce qu’on appelle un bon profil dans le jargon du crédit immobilier ? Avez-vous un bon dossier ?  Tant mieux pour vous, car « certaines banques acceptent de prêter à nouveau plus de 100 % de la valeur du bien, sans apport personnel donc, mais uniquement aux emprunteurs qui ont des revenus élevés, une épargne après projet ou à certains jeunes à fort potentiel, précise Julie Bachet, porte-parole de Vousfinancer. Le passage de la marge de flexibilité de 15 à 20 % de la production des banques a réellement un impact, mais surtout pour acheteurs de leur résidence principale et primo-accédants, très peu pour les investisseurs, comme recommandé par le HCSF.»